Le 5 juin dernier, l’ADADA a fait l’objet d’une Inspection de la DDPP du Puy-de-Dôme.
Cette inspection fait suite à une plainte déposée par une personne malveillante, qui a proféré de multiples accusations mensongères contre l’ADADA et sa présidente. Les inspecteurs de la DDPP ont fait leur travail en venant contrôler l’ADADA le 5 juin 2014.
La Direction Départementale de Protection des Personnes (DDPP) comprend aussi parmi ses services un dédié à la protection animale qui « contrôle les conditions d’élevage, de détention et de transport des animaux et vérifie la mise en œuvre de la réglementation visant à les prémunir contre les mauvais traitements, et vérifie l’application de la réglementation en matière d’identification et de traçabilité des animaux vivants. »
Deux inspecteurs de la DDPP du 63 ont évalué point par point l’état des animaux et la qualité des différents sites où se trouvent les ânes de l’ADADA, établissant un rapport d’inspection complet.
La grille d’inspection portait sur les points suivants:
- Logement et ambiance
- Matériels et équipements
- Personnel (connaissances, qualifications, nombre…)
- Conduite d’élevage
- Interventions sur l’animal sain
- Soins aux animaux blessés
- Alimentation et abreuvement
- Pharmacie
- Identification des animaux, documents d’accompagnement, document sanitaires des animaux, registres …
Il s’agissait donc d’un contrôle complet, portant non seulement sur l’état des animaux, les structures et équipements, mais aussi sur les compétences des équipes, les processus et la conformité administrative.
Le rapport d’évaluation conclue à une situation CONFORME aux références réglementaires sur tous les points, attribuant ainsi la note « A » à l’ADADA.
Bravo à toutes les équipes ADADA pour leur travail et leur implication, qui permettent d’offrir aux ânes de l’ADADA une qualité de vie excellente, reconnue lors de cette inspection.
Ce rapport de la DDPP nous permet de rappeler fort à propos le dicton: « Bien faire et laisser braire »
Bien faire, c’est ce à quoi l’ADADA s’applique chaque jour: laissons donc « braire » les méchantes langues … tant que nos ânes peuvent braire de plaisir 😉